Et si la santé mentale était directement reliée au positionnement du squelette, des viscères et du crâne ?
Avez-vous remarqué que les gens qui se blessent"en torsion" (cage thoracique et hanches, entorses, épaule plus haute que l'autre, jambe plus courte, blessures en "ite", oeil plus haut que l'autre, oreille plus basse, mauvais positionnement, répétition d'un mauvais mouvement (parfois même une seule fois), dormir sur le ventre, s'asseoir sur son bas du dos et non sur ses fesses, soulever un poids avec de mauvais appuis, souliers qui affaiblissent les chevilles, etc..), développent avec le temps des inconforts psychologiques (angoisse, dépression, idées noires, perte de concentration, faiblesse intellectuelle, etc.) ?
Le plus étonnant, c'est qu'en replaçant dans un même traitement le dentaire, le cou et le crâne (chaque casse-tête étant refait au complet) (1h30 à 3h00 selon l'état de santé du patient), ces inconforts psychologiques diminuent, changent ou disparaissent.
Plusieurs patients m'ont dit qu'enfin ils ne se sentaient plus comme si "le disque sautait toujours à la même place" et que leurs idées venaient plus facilement. (Disparition des idées noires, meilleure concentration, parfois même augmentation du nombre de gestes mentaux, etc..)
Cela me questionne sur le fait de traiter isolément une partie du corps sans en faire les liens avec le restant.
Est-ce que cela a un impact sur la santé mentale du patient (inconforts psychologiques) de ne placer qu'une partie d'un casse-tête au lieu de le faire au complet ?
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