lundi 31 décembre 2012

Assurances et société

Assurances et société

    En acceptant certaines pratiques professionnelles et en en refusant d'autres, les compagnies d'assurances ont amené les gens à privilégier souvent les mêmes choix.

    Pour une société en meilleure santé, il importe donc de revoir ces pratiques et ces choix. Souhaitons que les actuaires prennent le temps de réévaluer.

    Pour commencer, il faudrait considérer l'humain dans son ensemble et non comme le résultat de plusieurs morceaux. Et évaluer l'impact à long terme de certaines habitudes et modes sur la santé. Bien sûr, le patient peut continuer à faire des choix mais ces offres de choix devraient tenir compte des effets secondaires et des coûts associés. 

    Par exemple, porter des talons hauts (voir les dernières découvertes et les émissions sur la santé), amène un changement dans la posture et a des effets secondaires prévisibles (douleurs aux jambes, au dos et au cou, problèmes de mémoire, changements dans les humeurs, parfois problèmes de pression, etc.). 

          Alors, si une femme fait le choix de porter des talons hauts, elle devrait aussi faire le choix de payer davantage en assurances pour son habitude de mode qui causera, à long terme, de nombreux problèmes de santé et demandera de nombreux traitements (soins et opérations diverses). Il est facile de s'en apercevoir. Recouper les informations des dossiers des patients et vous verrez que les femmes qui portent des souliers plats font beaucoup moins de réclamations et de demandes de remboursements pour des soins, des traitements et  des opérations. Les femmes portant des souliers plats devraient donc payer moins cher en assurances. Et comme le pied qui a porté un talon haut n'a plus les mêmes points d'appui, il serait facile de vérifier.

    Autre exemple, le non respect de la protection de la colonne vertébrale et du crâne. Amener constamment le corps à sa limite pour respecter une mode, recevoir un traitement ou pour pouvoir bien paraître est un non-sens car cela prédispose le corps à développer des problèmes de santé. 

- En premier, il faudrait un effort des gens qui travaillent en santé: avoir une table de travail ne demandant pas au patient d'être plié (solution table haute 180 degrés avec une surface dure).

- En deuxième, il faudrait être réaliste et conscient des effets secondaires de sa pratique professionnelle et permettre au patient d'avoir les conditions idéales selon son état de santé (exemple: on devrait vendre de la pâte prophylactique - produit dont se servent les dentistes pour nettoyer les dents- au public au lieu de seulement vendre de la pâte à dents et des produits détachants. Cela coûte beaucoup moins cher et a un effet immédiat. En utilisant ce produit, le patient - entre autres, celui qui a eu un traumatisme crânien - peut espacer ses visites pour ses dents aux deux ans. (Comme cela prend six mois au squelette pour se stabiliser (après un équilibre complet) et un an pour devenir solide, utiliser la pâte prophylactique plutôt que de se placer en position limite permet au corps de mieux se rétablir et de mieux vieillir. Et les dents sont blanches et en santé.) Et si la pâte prophylactique était remboursée par les assurances ?

    Enfin, un dernier exemple. L'honnêteté des gens et des soignants. Malheureusement, les gens qui travaillent en santé et qui offrent les meilleures conditions de traitements, sont souvent confrontés aux patients qui demandent des faux papiers (changer les montants, le temps, la date, la sorte de traitements, ...) afin de demander des remboursements d'assurances. Pour éviter de tels comportements, il serait judicieux d'en expliquer les conséquences aux patients et de demander aux soignants d'apporter des précisions sur les reçus. (Attention, faire partie d'une association ne protège pas contre les faux reçus.). Merci aux soignants qui font leur travail avec brio et honnêteté. (Et qui pensent à la santé globale de leurs patients.)

               En terminant, il serait souhaitable que les assurances réévaluent leurs pratiques afin de tenir compte de petits détails qui pourraient, à long terme, faire faire des économies autant aux compagnies d'assurances qu'aux patients qui font des efforts réels de santé. Une idée serait de récompenser les gens travaillant en santé qui prennent des précautions particulières pour la santé globale de leurs patients (en ne considérant pas seulement leur champ de pratique).




dimanche 30 décembre 2012

La santé physique est une équation.

La santé physique -------- Définissons la santé physique comme une équation. 

Os + nerfs + muscles + ligaments + glandes + viscères + colonne vertébrale + crâne (symphyse sphéno-basilaire, nez, dentaire, mâchoire, gorge, oreilles, ...) + chimique (sanguine, immunitaire, hormonale, électrique, génétique, ...) + liens avec la santé psychologique + façons de traiter son corps (positions, habitudes, angles, faux mouvements, habillement, souliers et bottes, modes, ...) + énergie.

Évaluer efficacement un patient implique donc de tenir compte de tous ces facteurs.

                       Un des problèmes avec la santé est que l'on voit le corps comme un ensemble de morceaux distincts et que l'on consulte des spécialistes pour un morceau précis; sans tenir compte de sa totalité ni de ses mécanismes de cohésion. Et que chaque spécialiste travaille dans son coin. 

                       Ainsi, un patient qui consulte pour un mal de dos peut aller voir de nombreuses personnes et recevoir des soins totalement différents. Souvent la douleur va momentanément disparaître mais revient car il y a des facteurs importants qui n'ont pas été considérés (qui relèvent souvent d'une autre discipline) ou parce que le corps du patient subit des modifications (opérations, plombages, couronnes, implants, broches, greffe, orthèses, ajouts de corps étrangers, nouveaux souliers, ...) aussi minimes soient-elles.

                  Un autre problème est le fait que l'on semble considérer le corps comme étant plastique et devant se mouler à n'importe quoi (exemples: souliers dont le modèle de base est croche - ce qui fait déformer les pieds et peut amener des problèmes de santé -, angles d'un siège (salon et/ou auto) ne pouvant pas se placer à 90 degrés et/ou surface non plane - ce qui demande au dos de constamment forcer en position limite, lit mou qui ne permet pas à la colonne vertébrale de se dérouler et de se reposer, ...).

                                                                             XXX

                      Bon. Juste en relisant ce qui est écrit plus haut, il y a de "l'ouvrage" pour bien des gens. Certes, une société en mouvement fait changer l'argent de place. Et permet de relever de nouveaux défis.

                            Mais est-ce que les gens sont prêts ? À se remettre honnêtement en question ? À faire des efforts et à prendre leur santé en mains ? À refuser d'acheter ce qui n'est pas bon pour la santé (même si les apparences sont trompeuses) ? Car acheter, c'est voter. Pour ma part, je préfère voter pour mon pays (produits faits à 100% ici) plutôt que de faire travailler les gens d'ailleurs. Cela permet de donner un coup de pouce à l'économie et, en éliminant les intermédiaires, fait baisser les prix. 

XXX

                           Alors, allez-vous relever des défis ? Le premier étant face à vous-même. Avoir l'honnêteté de se remettre en question, autant dans sa santé (connaître son équation et faire des actions) que dans sa pratique professionnelle (revoir les concepts, ses méthodes et les produits utilisés). Pour une société en meilleure santé.

        Mais pour y arriver, il fait arrêter de se regarder le nombril (penser seulement à soi) et faire des efforts. 

                 Pas facile de sortir de son inertie. 
                                                               Ni de son égo. 

Surtout qu'apprendre implique de désapprendre.

                             

                             


samedi 29 décembre 2012

Les intelligences --- Santé physique et santé psychologique

Santé physique et santé psychologique. Les intelligences.

Pour comprendre ce qu'est la santé, il est important de prêter attention aux différentes intelligences. Souvent, les gens se croient intelligents. Mais le sont-ils vraiment ? Car, au fond, qu'est-ce qu'être intelligent ?

Nous devrions donc parler d'intelligences. Logico-mathématique. Linguistique. Musicale. Émotionnelle. Interpersonnelle. Intrapersonnelle. Sensitive. Existentielle. Environnementale.

Alors, êtes-vous intelligent ? Pouvez-vous vous donner 10 sur 10 pour chacune de ces intelligences ?

Être en santé implique donc de pouvoir s'évaluer objectivement: 
- dans ce que l'on est (ses intelligences), 
- dans la façon dont on se sent, 
- dans ce que l'on paraît (à nos yeux et aux yeux des autres), 
- dans ce que l'on sait 
- et dans ce que l'on ignore. 

Mais aussi de la façon dont on traite son corps. Bref, jeter un regard global sans émotions sur son état de santé et préférer la vérité aux trompe-l'oeil. 

Pour ne pas vieillir tout croche, il vaut mieux s'éduquer. Le plus dur étant souvent de sortir de son inertie.

vendredi 28 décembre 2012

Courage, actions et paroles

Avoir le courage d'agir.

Pour que les choses changent, il faut en parler. En parler avec ses voisins et ses amis. Pour que le message passe. Ne pas faire comme s'il n'y avait pas de problèmes. Et, enfin, faire des actions.

Le mot santé. Physique. Psychologique. Environnemental.

Sur quoi avons-nous prise ? Sur nos actions de la vie quotidienne.

Alors, comme nous sommes en hiver, commençons par le début.

S'il est vrai que l'agriculture est à la base de l'économie (et donc de la santé à cause des effets secondaires positifs et négatifs des aliments), il faut donc un changement majeur dans la façon de prévoir les récoltes (manque de diversité dans les récoltes, disparition des abeilles, mauvaise utilisation des terres par le chimique et le non repos du sol, animaux en cage, non utilisation d'engrais vert) pour ne pas causer encore plus de dommages à la nature et à l'humain. Et dire que l'on fera cela plus tard est déjà trop tard.

Imaginez donc une rencontre en début d'année où l'on prévoit toutes les cultures faites au Québec, en faisant attention de respecter la diversité et en éliminant le chimique. Afin de préserver la nature et de protéger la santé de la population. 

Il s'agit là d'une responsabilité sociale.

Un rêve ? Peut-être. À moins que les agriculteurs prennent conscience de l'impact de leurs gestes et de leurs choix sur la santé des autres.

Allez-vous passer le mot ? Et demandez aux agriculteurs de faire des changements drastiques et immédiats ?
Auront-ils le courage d'agir ?

C'est votre santé qui est en jeu.



jeudi 27 décembre 2012

Participation de tous et chacun ?

                 Pour qu'une société soit en meilleure santé, il est vital

- d'avoir la participation de tous et chacun (mettre son égo de côté et penser à son prochain plutôt qu'à ses poches), 
- de faire des actions concrètes (réajuster sa pratique professionnelle (méthodes, produits, stratégies, buts), éduquer ses patients et/ou ses clients, respecter la nature, respecter le corps humain pour ce qu'il est sans vouloir sans cesse le transformer, inventer des objets durables, vendre des produits en étant conscient des effets secondaires et faire des choix judicieux quant aux produits vendus - ne pas vendre un produit que l'on ne prendrait pas pour soi-même -, utiliser des produits de qualité (pas besoin de chercher dans le dictionnaire ni de savoir le latin pour savoir ce qu'un produit contient vraiment),   
- ainsi que d'établir une collaboration efficace entre les divers métiers et professions.

Mais encore faut-il une volonté réelle de changements. Et le courage d'agir. 

   

Tous ensemble pour une société en meilleure santé !

Si nous travaillons tous,
chacun à notre façon,
pour une société
en meilleure santé,
imaginez
ce que cela
pourrait donner !