vendredi 24 janvier 2014

Croire, croyances et modernité

Croire, croyances et modernité

Êtes-vous croyant ? Croyez-vous à une force supérieure ou à une énergie qui nous aurait tous créés ? Ou sommes-nous des singes évolués ? 

Où étions-nous avant de naître ? Où allons-nous une fois morts ? 


Ce qui est commun à toutes les cultures, c'est d'avoir trouvé une explication sur l'origine du monde. 

Même les athées ont une façon d'expliquer le vide, le néant et la vie.


Et si on apporte quelque chose avec soi en partant, ce sont probablement des énergies, des souvenirs, des savoirs et des expériences. 

Mais pas d'argent ni de biens matériels.


Croire, mais jusqu'à quel point ?


Il y en a qui sont prêts à tout pour croire. Même à se priver de liberté. Et à suivre des gens comme des moutons suivent un berger.


Pour se libérer de la peur de ne pas savoir ce qu'il y avait avant et ce qu'il y a après.

Peur du vide. Du néant. De la vie.


Aucune religion n'est meilleure qu'une autre; en autant qu'elle permette de s'épanouir librement en se respectant soi-même et en respectant les autres (ne faire aux autres que ce que l'on aimerait que l'on nous fasse), car croire aide à vivre.

Modernité ? A-t-on encore peur ? 

Qu'en pensez-vous ? 

Venin d'abeilles: anti-inflammatoire et anti-douleurs naturels ?

Venin d'abeilles = anti-inflammatoire et anti-douleurs naturels ?


Utiliser le venin d'abeilles comme anti-inflammatoire naturel ? Ou comme anti-douleurs ?

Il faut l'avoir essayé pour en ressentir les effets positifs et pour comprendre que cela fonctionne vraiment.


En cas de blessure, une ou deux piqûres d'abeilles arrêtent les sensations d'engourdissements, d'élancements, de chocs électriques et de vibrations. Très rapide.

Cela est aussi efficace en cas de problèmes respiratoires (au lieu de prendre une pompe). Cela réagit instantanément.

N'est-il pas préférable d'avoir une ou deux piqûres d'abeilles plutôt que de prendre des médicaments et toutes sortes de produits ?

Cela pince sur le coup et enfle en fonction des besoins du corps. Étrangement, plus le corps en a besoin et plus il enfle. Et moins il en a besoin et moins il enfle.

ATTENTION: Il faut prendre des abeilles qui sont traitées avec des produits organiques et non des produits chimiques. Il y a des apiculteurs qui prennent des produits chimiques pour travailler moins et cela ne fait pas les mêmes réactions dans le corps de la personne qui en consomme. Et les produits chimiques ne sont pas "santé" pour les abeilles.

(Si vous achetez du miel, savez-vous si les abeilles ont été traitées avec des produits organiques ou des produits chimiques ? Pas le même goût ni les mêmes effets secondaires sur la santé.)

ATTENTION: Il est préférable de trouver un apiculteur, utilisant des produits organiques, pour recevoir des piqûres d'abeilles. L'apithérapie a ses particularités. Il y a aussi des apithérapeutes qui peuvent vous aider.

Le sel, le sucre et le gras

Le sel, le sucre et le gras

Pour bien fonctionner, le corps a besoin de plusieurs éléments organiques externes (sel, sucre, gras, etc.) faisant des réactions et interactions chimiques internes.

" Le sel est connu depuis la Préhistoire pour ses caractéristiques d'assaisonnement et de conservation des aliments.

Le sel naturel n'est pas raffiné et contient encore tous ses minéraux naturels. Les sels naturels ont donc des propriétés gustatives et un aspect différent suivant la quantité de minéraux qu'ils contiennent. Ainsi, la fleur de sel ou le sel de mer récolté à la main ont une saveur unique qui change d'une région à une autre.

La fleur de sel ou le sel des marais salants ou le sel gemme non raffinés rentrent dans cette catégorie. Le sel non raffiné de mer est plus sain car plus riche en magnésium (sous forme de chlorure de magnésium) ainsi qu'en oligo-éléments et en fer. Cependant, les sels naturels peuvent ne pas contenir suffisamment d'iode pour empêcher les maladies dues à des insuffisances d'iode comme le goitre. (...)

Des adjuvants, anti-agglomérants et composés fluorés ou iodés, lui sont habituellement rajoutés.

Des agents anti-agglomérants et de l'iodure de potassium sont généralement ajoutés au moment de la phase de séchage. Ces agents sont des produits chimiques hygroscopiques qui absorbent l'humidité évitant le colmatage des cristaux de sel. Les agents anti-agglomérants utilisés sont le phosphate, les carbonates de calcium ou de magnésium, les sels d'acide gras (sels acides), l'oxyde de magnésium, le bioxyde de silicium, l'aluminosilicate de sodium (en) et le silicate tricalcique d'alumino-calcium. Des inquiétudes ont été soulevées concernant les effets toxiques possibles de l'aluminium dans les deux derniers composés, toutefois l'Union européenne et les États-Unis permettent leur utilisation en quantités limitées. Le sel de raffinage est alors prêt pour l'emballage et la distribution.

De plus, depuis quelques années les industriels du secteur enrichissent ou complètent leur sel avec de l'iode et du fluor. L'iode sert à combattre les goitres et à diminuer le crétinisme, le fluor contribue à prémunir des caries en renforçant l'émail. Toutefois, l'excès d'iode et de fluor conduit aussi à de graves maladies.

Le sel iodé de table a permis de réduire les insuffisances d'iode dans les pays où il est employé. L'iode est important pour empêcher la production insuffisante des hormones thyroïdiennes (hypothyroïdisme), qui peuvent causer le goitre, le crétinisme chez les enfants, et le myxœdème chez les adultes. (...)

La fabrication et l'utilisation du sel sont l'une des industries chimiques les plus anciennes. Plusieurs sources de production sont possibles. (...)

Contrairement à une idée reçue, le sel n'est pas un exhausteur de goût, mais il permet de modifier la perception du goût, c'est pour cela qu'il est largement utilisé en cuisine5.

Les aliments contenant le plus de sel sont les charcuteries et les fromages, ainsi que les préparations cuisinées (plats cuisinés, soupes préparées) des aliments industriels.

Le sel joue par ailleurs plusieurs rôles en panification : fermentation, qualités organoleptiques, conservation. Le pain contient donc également beaucoup de sel, mais beaucoup de recettes de pâtisseries incluent également du sel dans leur pâte.

Le sel de table peut être « iodé » par addition d'un sel d'iode, cet élément étant nécessaire à la glande thyroïde pour la sécrétion des hormones thyroïdiennes et servant aussi au développement intellectuel. La vente de sel iodé est imposée par la réglementation dans plusieurs pays. Les ions chlorure et sodium contenus dans le sel sont aussi très importants pour le fonctionnement de l'organisme. En effet, ces ions jouent un rôle dans la conduction de l'influx nerveux, dans la contraction des muscles et dans la rétention d'eau dans le corps. (...)

En France et dans beaucoup de pays industrialisés, la consommation de sel est trop importante. Cette surconsommation, due également au sel se trouvant dans les préparations industrielles, entraîne de graves problèmes de santé, comme l'hypertension ou l'obésité qui sont la cause de plusieurs dizaines de milliers de morts prématurées chaque année. Il existe d'autres sels (comme le chlorure de potassium KCl, présent dans le sel de table non raffiné mais plus toxique pour les personnes ayant des maladies cardiaques, rénales ou des troubles de pression artérielle) mais peu répandus et plus coûteux. (...)

Sel ---  On l'a utilisé autrefois pour ses propriétés déshydratantes (ammochosie).

L'excès de consommation de sel par les habitants des pays développés est établie. Le milieu médical et scientifique (OMS, Inserm, etc.) considère que la consommation de sel dans les pays développés est excessive (pour la France8, deux fois supérieure aux recommandations de l'OMS9) pouvant être responsable de maladies cardiovasculaires et rénales. L'excès de sel provient essentiellement, à hauteur de 80 % des plats cuisinés, soupes et autres produits industrialisés. L'accoutumance au sel pourrait exister dès l'âge des nourrissons par le biais des petits pots et plats pour bébés10.

La quantité de sel absorbée quotidiennement peut être estimée par un interrogatoire diététique précis, mais peut être facilement objectivée par la mesure de la quantité de sodium excrété dans les urines, en l'absence de certaines prises médicamenteuses (notamment les diurétiques) : en situation stable la quantité excrétée est proche de la quantité ingérée. (...)

Le sel, à petites doses, reste un élément indispensable. Il permet de maintenir une pression artérielle correcte et prévient les troubles liés à une concentration insuffisante de sel dans le sang (hyponatrémie) telle qu'elle se voit dans certains cas de déshydratation. Le besoin minimal physiologique est autour de 2 g /jour16. Une consommation trop basse de sel pourrait même majorer le risque de survenue de maladies cardio-vasculaires17.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Sel_alimentaire


Le sucre est indispensable au fonctionnement des cellules. Manquer de sucre apporte des baisses d'énergie. Un déséquilibre de l'équilibre sucre et insuline dans le sang peut occasionner des problèmes de diabète et d'hypoglycémie.

" Outre le miel et les fruits (comme la pomme) qui servent de complément glucidique depuis la Haute Antiquité, divers végétaux contiennent des quantités importantes de sucres et sont utilisés comme matière première d'où l'on extrait ces sucres, souvent sous la forme de sirop :

Les sucres ont une saveur que l'on a dit être une des quatre saveurs de base (sucrée, salée, amer, acide), mais les physiologistes ont réfuté cette classification au xviiie siècle.

Sur le plan cognitif et neurologique, les saveurs sucrées semblent indiquer aux primates, humains ou non humains, la valeur énergétique des végétaux, d'où le plaisir qui lui est associé2. Certaines saveurs sucrées sont notamment reconnue par une famille de récepteurs, situés sur la langue, couplés à la protéine G T1R1, T1R2 et T1R3 ; ils s’assemblent en homodimères ou hétérodimères et permettent la reconnaissance des sucres naturels ou des édulcorants.

À part les sucres, de nombreuses autres molécules, artificielles ou naturelles, possèdent un pouvoir sucrant, mais celles-ci ne sont pas toutes reconnues par l'ensemble des animaux.

Parmi les molécules d'origine naturelle on trouve les acides aminés (glycine), les protéines (thaumatinemabinline), des hétérosides (stéviosides), etc.

Parmi les molécules de synthèse, on trouve, des dipeptides (aspartame), des sulfamates (acésulfame potassium), etc. (...)

Certains types de sucre sont normalisés au niveau mondial par le Codex Alimentarius11.

Quelques types de sucre (normalisés ou non) :
  • sucre complet : sucre non raffiné, totalement pourvu de sa mélasse, cristallisé puis déshydraté. En particulier, le sucre de canne complet ;
  • sucre blanc : doit contenir plus de 99,8 % de saccharose cristallisé, c’est celui qu’on appelle couramment sucre cristal (ou cristallisé) ou sucre semoule, selon la taille des cristaux ; le sucre de betterave est naturellement blanc tandis que le sucre de canne présente naturellement une coloration qui va du blond au brun, due à des pigments présents uniquement dans la canne ;
  • sucre mi-blanc : doit contenir plus de 99,6 % de saccharose ;
  • cassonade : sucre cristallisé issu du jus de canne contenant environ 95 % de saccharose ainsi que des composés naturels qui lui donnent sa couleur et ses notes aromatiques : rhum, vanille, cannelle ;
  • sucre glace, sucre en poudre ou sucre impalpable : cristaux de sucre blanc moulus en une poudre très fine (impalpable) ;
  • sucre en morceaux : cubes, ou parallélépipèdes rectangles de sucre obtenus par moulage sous pression de cristaux de sucre réhumidifiés avec de la vapeur d’eau; à dissoudre dans un liquide chaud ;
  • sucre candi : sucre obtenu par cristallisation lente d’un sirop, ce qui forme de gros cristaux ; son nom lui vient de l’arabe qandi (« sucre »)12 ;
  • sucre roux : c’est soit du sucre brut issu de la canne (sucre de canne roux appelé cassonade), soit du sucre de betterave ayant subi au moins deux cycles de cuisson (vergeoise), soit du sucre blanc coloré avec du caramel ;
  • sucre blond : sucre issu de l’agriculture biologique, c’est un sucre non raffiné dont on a enlevé une partie de la mélasse, puis cristallisé et séché.
  • vergeoise : sucre moelleux provenant d’un sirop de betterave recuit ;
  • sucre perlé: état précis du sucre de betterave aggloméré résistant à la chaleur qui est utilisé pour les chouquettes en France et dans les pâtisseries de la région liégeoise et verviétoise, par exemple, dans les recettes de gaufre de Liègecraquelin, et gâteau de Verviers ;
  • sucre gélifiant : sucre cristallisé additionné d'un gelifiant (pectinecarraghenane, etc.) et d’acide citrique ; il est utilisé pour la fabrication des confitures ;
  • sucre inverti : (sucre liquide inverti ou sirop de sucre inverti) solution aqueuse de saccharose partiellement invertie par hydrolyse (décomposé par l’eau, le saccharose se transforme en glucose et en fructose). (...)

Analyse comparée du sucre blanc et complet
en mg pour 100 g de sucre
sucre blancsucre complet
Sels minéraux30 à 501 500 à 2 800
potassium (K)3 à 5600 à 1 000
magnésium (Mg)060 à 130
calcium (Ca)10 à 1540 à 110
phosphore (P)0,314 à 100
fer (Fe)0,14 à 40
Il est sans doute important pour certaines catégories de la population de ramener la consommation de sucre à un niveau raisonnable : comme pour tous les sucres simples, des vitamines et minéraux sont nécessaires pour métaboliser le saccharose (principalement des vitamines B1 et du magnésium). Un régime alimentaire très riche en sucre peut engendrer des carences. (...)



Vieillissement 
La consommation de sucre contribuerait à un vieillissement accéléré à travers une sollicitation excessive de production d'insuline37,38 et du processus de glycation. (...)


Caries dentaires 
La carie est un problème qui peut être lié à la consommation répétée de sucre : en effet, il favorise la métabolisation d’acides par des bactéries, qui détruisent l’émail dentaire. Le facteur déterminant dans la formation des caries est moins la quantité que la fréquence du sucre absorbé. Selon l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (AFSSA, devenue ANSES), lessucres simples (dont le saccharose) interviennent dans la propagation des caries dentaires27. Elle préconise donc d'avoir une consommation limitée de produits sucrés, et d'avoir une bonne hygiène bucco-dentaire.

Obésité 
La prise de poids résulte le plus souvent d’un déséquilibre prolongé entre apports alimentaires et dépenses énergétiques. Au vu des études récentes, l'Agence Européenne de Sécurité des Aliments n'a pu établir aucune relation directe entre consommation de sucres - en dehors d’apports caloriques excessifs - et prise de poids39. En revanche, elle recommande de favoriser lesglucides complexes plutôt que les glucides simples dont le sucre. Par ailleurs, il semblerait que l’organisme comptabilise moins bien les "calories liquides" consommées en excès. Ainsi les boissons sucrées (jus de fruitssodasnectarssirops…) régulièrement consommées pendant ou en dehors des repas, apporteraient un excès de calories préjudiciable à terme et constituent un facteur de risque d'obésité40,41,42,43.

Carences 
La consommation importante de sucre de produits sucrés pauvres en vitaminessels minéraux et fibres, peut favoriser des carences nutritionnelles si par ailleurs l'alimentation est peu diversifiée.

Un excès de sucre comme tout excès alimentaire, a un impact défavorable sur la santé. Il pourrait donc favoriser certaines maladies cardio-vasculaires, des pathologies oculaires (cataracte), le vieillissement prématuré, ainsi que certains cancers (cancer du pancréas, le cancer de l'estomac, le cancer du côlon, le cancer de l'endomètre) selon le site Danger-Santé44.

Cancer[modifier | modifier le code]

Plusieurs études indiquent un rôle du sucre dans le développement du cancer (...)

Hyperactivité
Dans la plupart des cas, le comportement des enfants n’est pas modifié par l’absorption de sucre57 : il n’y a pas de lien établi entre le sucre et l’hyperactivité.
Plusieurs études ont montré qu'il existait un lien entre l’hyperactivité observée chez certains enfants et certains colorants alimentaires58. Ce lien a été relativisé par l'EFSA59 mais un avertissement accompagne désormais les aliments contenant certains colorants60

Maladie d’Alzheimer
Les résultats des études récentes sont contradictoires. Selon une étude américaine publiée dans le Journal of Biological Chemistry en , le sucre contribuerait au développement de la maladie d'Alzheimer61. Une autre étude parue en 2012 dans la revue Aging Cell a établi un effet protecteur du glucose vis-à-vis de la neurodégénerescence62.

Addiction
Chez le rat, une exposition prolongée au goût sucré (sous forme de sucre ou d'édulcorant) induit une dépendance caractérisée par des modifications comportementales et cérébrales comme celles des drogues dures63. Une expérience a montré que les rats préfèrent la consommation d'eau sucrée à celle de cocaïne en intraveineuse64. Cela peut constituer un facteur explicatif de la tendance de l'industrie agro-alimentaire à sucrer ses préparations65.

Chez l'Homme, il n’existe pas d’addiction ou de dépendance alimentaire selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS)66. Même si le goût sucré procure un plaisir qui active le circuit de la récompense, la consommation de sucre n’entraîne pas une dépendance physique ni de symptômes de sevrage caractéristiques d’une véritable addiction67,68. (...)

En industrie, le saccharose peut être hydrolysé pour obtenir une solution contenant du fructose, du glucose et du saccharose et appelée « sucre inverti », utilisée en confiserie et en pâtisserie. (...) "

http://fr.wikipedia.org/wiki/Sucre

" La graisse est un corps gras se présentant à l’état solide à température ordinaire. Le terme s’oppose aux huiles qui se présentent sous forme liquide. On distingue les graisses des cires, de composition similaire mais qui possèdent un point de fusion supérieur à 45 °C.

La saponification, la fabrication du savon, se fait souvent à partir de graisses. (...)

  • Hydrophobie : la graisse, comme tous les corps gras, n'est pas hydrosoluble et ne se mélange pas avec l'eau (propriété appelée hydrophobie).
C'est sur ce phénomène graissier de répulsion que le procédé de l'offset conventionnel est fondé, en créant une émulsion entre la solution de mouillage et l'encre grasse.

Certaines substances partageant la propriété d'hydrophobie avec la graisse sont solubles dans cette dernière. Tel est le cas de certaines vitamines, de certains pesticides, de certains parfums de fleur, de certains métaux lourds et du tétrahydrocannabinol (THC), composé actif du cannabis.

Le Sudan est le colorant spécifique des graisses. (...)

La graisse d'origine biologique est un aliment. Son accumulation dans le corps forme un tissu adipeux. "

http://fr.wikipedia.org/wiki/Graisse

" La graisse alimentaire est une matière grasse d'origine animale ou végétale utilisée comme aliment. On parle de graisse pour qualifier un lipide ayant une consistance solide à température ordinaire, pour différencier des huiles, liquides à cette température. Cependant, graisse est un terme générique qui est souvent pris en tant que synonyme de lipide quelle que soit la forme. Ainsi on dit que certaines vitamines ne sont pas solubles dans l'eau, mais le sont dans les graisses (voulant dire dans les graisses et dans les huiles). C'est en 1827 que William Prout reconnut les graisses comme un important nutriment dans l'alimentation, au même titre que les protéines ou les sucres1.

Les graisses jouent un rôle dans l'état de malnutrition. Un apport en excès de graisses conduit, partout dans le monde, à diverses formes de malnutrition, débouchant notamment sur l'obésité. (...)

La graisse végétale la plus connue est la graisse de la fève de cacao. C'est elle que l'on retrouve normalement dans la composition du chocolat, bien que la règlementation autorise 5 % de matières grasses qui ne sont pas tirées du cacao. Certains fabricants utilisent même de la graisse animale pour la confection du chocolat.

À l'issue du pressage en vue de l'extraction de l'huile d'olive, une petite fraction de graisse est obtenue. (...)

La graisse permet la conservation alimentaire ; elle a notamment été utilisée pour la conservation de la viande. (...)


 Matière grasse alimentaire

Graisses
Beurre • Beurre clarifié • Beurre de cacao • Beurre de karité • Ghi • Lard • Margarine • Niter kibbeh • Saindoux • Smen • Suif

Huiles
Huile d'amande • Huile d'arachide • Huile d'argane • Huile d'avocat  Huile de carthame • Huile de coco 
 Huile de colza  Huile de coton  Huile de germes de blé • Huile de lin •Huile de maïs • Huile de neem 
 Huile de noisette • Huile de noix • Huile de noyaux • Huile d'œillette  Huile d'olive • Huile de palme 
 Huile de pépins de courge Huile de pépins de raisin  Huile de ricin  Huile de riz  Huile de sésame
 • Huile de soja • Huile de tournesol

Graisse animale • Composition nutritionnelle des corps gras • Indices chimiques

http://fr.wikipedia.org/wiki/Graisse_alimentaire

" La graisse animale est une forme de graisse alimentaire issue du tissu appelé graisse. On appelle panne la graisse qui se trouve autour des rognons chez le porc.

Le lait est une autre source de graisses animales. Celui des mammifères marins, tels les phoques ou les baleines, est bien plus riche en graisses et nutriments que celui des mammifères terrestres.

Les oiseaux migrateurs ont la particularité de stocker les graisses dans leurs foie, ce qui a été mis à profit par l'homme pour la fabrication du foie gras. (...)

Elle est obtenue après avoir fondu le tissu graisseux chez les animaux d'élevage (porc notamment). On obtient alors le saindoux. Le même procédé appliqué à la baleine ne permet d'obtenir un solide mais de l'huile de baleine, liquide.

Le suif est un produit résiduel obtenu par la fonte de la graisse d'espèces animales comme le mouton et le bœuf.

L'écrémage du lait des animaux laitiers permet d'obtenir de la crème, puis du beurre. (...)

On peut aussi obtenir de la graisse lors de processus de réutilisation des déchets agroalimentaires (ou "procès de rendering") qui sépare la graisse des os et des protéines des déchets de boucherie.

La laine issue des toisons des moutons est naturellement grasse. Lors d'une opération appelée dégraissage, on récupère de la suintine ou suint, qui est raffinée pour être utilisée en pharmacie et dans la fabrication des produits de beauté sous le nom de lanoline. (...)

De nombreux aliments sont riches en graisses animales : le lard, le pâté, la charcuterie, les fromages (le soumaintrain a une teneur en graisse de 45 %). Une spécialité culinaire de Normandie, la graisse normande, n'est constituée que de graisse...

La graisse animale contient des acides gras saturés, qui seraient propices au développement des cancers et maladies cardio-vasculaires.

Plus généralement, les chercheurs ont un avis partagé sur les effets des acides gras (et non sur les graisses animales) sur la santé1. (...)

La graisse, contrairement à ce que certaines personnes pensent, est un très bon isolant pour les animaux, qu'ils soient à plumes ou à poils. Les animaux sont bien protégés l'hiver grâce à leur graisse. L'été aussi la graisse leur est utile, car leur corps est frais et la graisse conduit mal la fraîcheur et la chaleur, donc ils peuvent rester au frais et bien dans leur peau.Aussi, la graisse est un tissu gardant une grande quantité d'énergie,se qui permet aux animaux de s'adapter aux périodes froides (...) "

http://fr.wikipedia.org/wiki/Graisse_animale