Avoir le courage d'agir.
Pour que les choses changent, il faut en parler. En parler avec ses voisins et ses amis. Pour que le message passe. Ne pas faire comme s'il n'y avait pas de problèmes. Et, enfin, faire des actions.
Le mot santé. Physique. Psychologique. Environnemental.
Sur quoi avons-nous prise ? Sur nos actions de la vie quotidienne.
Alors, comme nous sommes en hiver, commençons par le début.
S'il est vrai que l'agriculture est à la base de l'économie (et donc de la santé à cause des effets secondaires positifs et négatifs des aliments), il faut donc un changement majeur dans la façon de prévoir les récoltes (manque de diversité dans les récoltes, disparition des abeilles, mauvaise utilisation des terres par le chimique et le non repos du sol, animaux en cage, non utilisation d'engrais vert) pour ne pas causer encore plus de dommages à la nature et à l'humain. Et dire que l'on fera cela plus tard est déjà trop tard.
Imaginez donc une rencontre en début d'année où l'on prévoit toutes les cultures faites au Québec, en faisant attention de respecter la diversité et en éliminant le chimique. Afin de préserver la nature et de protéger la santé de la population.
Il s'agit là d'une responsabilité sociale.
Un rêve ? Peut-être. À moins que les agriculteurs prennent conscience de l'impact de leurs gestes et de leurs choix sur la santé des autres.
Allez-vous passer le mot ? Et demandez aux agriculteurs de faire des changements drastiques et immédiats ?
Auront-ils le courage d'agir ?
C'est votre santé qui est en jeu.
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