Et si arrêter de fumer était plus difficile pour les personnes ayant déjà eu des coups sur la tête, même mineurs ?
Le corps recherchant naturellement à se rééquilibrer, peu importe les circonstances (vêtements, souliers, mobiliers, accidents, faux mouvements, mauvaises positions, chocs, traumatismes, cadenas dentaires stables ou instables, etc.), il est donc logique de se demander si le fait de fumer, qui est un acte répétitif, a des impacts sur les positionnements crâniens.
Dans sa recherche constante d'équilibre, le corps se replace et/ou se remet dans un état de confort, même si ce confort implique de modifier la courbure de la colonne vertébrale et de tordre le crâne (symphyse sphéno-basilaire, palais, mâchoire, nez, vomer, etc.), .
Si ce confort a été établi dans un contexte où le patient était fumeur, le corps va donc chercher à reproduire le même contexte afin de retrouver un confort de positionnement (corps et crâne). Or, si le patient est fumeur et qu'il a déjà eu des coups sur la tête, les lésions et les blocages s'additionnent.
Si l'on considère le fait que le crâne d'un fumeur a tendance à développer des lésions et des blocages différents de ceux d'un non fumeur, il serait sûrement utile d'en tenir compte dans les démarches entreprises par un patient pour arrêter de fumer.
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