Syndrome de stress post-traumatique (SSPT) avec comorbidité (douleurs chroniques)
On m'a demandée de participer à un groupe de recherches
sur le syndrome de stress post-traumatique (SSPT)
avec comorbidité (douleurs chroniques).
Je remercie les gens concernés pour cette invitation. Après réflexion, j'ai plutôt choisi d'écrire un texte que tous pourraient lire plutôt que de le réserver seulement à un groupe précis.
Je félicite toutefois l'initiative de vouloir faire un pont entre les différentes approches professionnelles de la santé dans le but de résoudre un problème de santé. C'est aussi une très bonne idée de mettre les pratiques ostéopathiques en commun.
Par rapport au fait de replacer le corps, en considérant à prime abord que le syndrome de stress post-traumatique (SSPT) avec comorbidité (douleurs chroniques) est un état "limite" causé par un déséquilibre général du squelette, du crâne, du dentaire et des cadenas dentaires naturels allié à des traumatismes psychologiques profonds, il est important de prévoir déjà la collaboration de plusieurs intervenants afin d'aider le patient dans la gestion de ses problèmes (psychologue, psychiatre, soignant qui replace, arts martiaux pour apprendre à dominer ses pulsions, dentiste pratiquant la dentosophie, etc.).
Aussi, il faudrait évaluer ce qui a été modifié ou non dans le corps et le crâne du patient (dossier dentaire inclus) afin de voir les constantes dans les problèmes et les interventions qui ont été faites. (Exemple. Un patient avec une couronne a-t-il tendance à être plus déprimé ?)
Concernant le fait de replacer le corps et le crâne du patient, pour permettre à la psyché de se libérer plus rapidement (liens entre blocages physiques et émotions liées à ces blocages), il est important au premier traitement et dans un seul traitement de replacer le dentaire, les cadenas dentaires, le palais, le nez, la gorge, la mâchoire, les trijumeaux, l'ethmoïde, le cou et le crâne.
Si tous les morceaux sont faits au complet, cela permet de rendre le crâne solide. Il faut entre 1h30 et 3h30 pour replacer tous ces morceaux en prenant le temps de respecter les rythmes et les réactions du corps (enflure et désenflure, blessures et blocages, équilibre de la pression, redressement de la posture, trapèzes reposés au lieu de raides et enflés, diminution des tensions, cou qui tourne facilement, tête plus petite mais avec plus de place, nez plus droit, changements dans les couleurs de la peau, patient plus calme, changements dans le nombre d'éléments gérés par la mémoire lors de la discussion, liens mentaux plus faciles, le patient s'exprime mieux et est plus joyeux, etc.).
Si le patient a tendance à se déplacer, on peut lui montrer à se replacer lui-même le ou les morceaux fragiles (corps, dos, cou, crâne, viscères, dents, etc.) plutôt que de souffrir.
Étonnamment, par exemple, savoir se replacer l'ethmoïde et les cadenas dentaires permet d'éviter l'agressivité, la dépression et le stress car le résultat est immédiat.
Quand le patient connait son corps et son crâne, c'est étonnant ce qu'il peut faire pour retrouver le calme dans son corps et dans sa tête. En replaçant le blocage dès qu'il se manifeste, le patient évite ainsi de souffrir inutilement.
Par rapport au nombre de traitements requis, je crois qu'il faut faire du cas par cas mais, en général, cela prend de 3 à 7 traitements intensifs pour équilibrer un patient au complet.
Merci !
Pour des informations sur le groupe de recherches sur le syndrome de stress post-traumatique (SSPT) avec comorbidité (douleurs chroniques):
sylvaindoyon@msn.com
Christian Bérubé <christianosteo@yahoo.ca
norman.shields@vac-acc.gc.ca
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